Diablo III: Eternal Collection
Portage Switch du hack & slash de Blizzard. Bien que le jeu sois sorti en 2012, je n'y avais toujours pas joué, principalement car je ne joue quasiment plus sur PC, notamment plus à des jeux des gros studios (la principale raison est que je suis sous Linux). Je n'avais pas d'attente particulière sur ce jeu au thème sombre. J'ai cependant trouvé le jeu trop facile. Je m'attendais en effet à plus difficile, vu à quel point j'avais galéré sur Diablo II lorsque j'y avais joué.
Au niveau du jeu, j'ai essayé un peu toutes les classes, mais j'ai fini le mode histoire uniquement avec le sorcier et la barbare. Après avoir fini l'histoire, l'autre mode de jeu accessible est un mode libre dans lequel on peut faire des quêtes pour obtenir de l'équipement supplémentaire. Ce mode libre reprend les zones du mode histoire, et y ajoute quelques zones supplémentaires, ainsi que les failles, qui sont des défis permettant d'obtenir des gemmes spéciales afin d'améliorer les équipements du personnage.
La difficulté est réglable avant de commencer une partie, sachant que plus le jeu est difficile, meilleures sont les récompenses.
Au niveau des personnages, il y a quatre mode : le mode normal, extrême (mort définitive), saisonnier (le personnage ne peut être utilisé que pendant une saison de 4 mois) et saisonnier extrême. Tous les personnages d'un même mode partagent leur coffre, ainsi que les niveaux de paragon, niveaux obtenus après atteint le niveau maximum (70), et permettant d'améliorer encore plus les personnages.